Cette chronique est un peu spéciale. Elle est réalisée à partir d’un livre en anglais afin de découvrir comment est perçu le mouvement slow à l’étranger. L’anglais n’étant pas ma langue maternelle et n’étant pas traductrice de métier, je m’excuse par avance s’il existe de maladroites traductions, des inexactitudes ou de mauvaises interprétations dans le texte du résumé qui suit.
Chronique-résumé du livre
Par Alison Davies, Be more sloth, Quadrille, 2018, 146 pages.
Introduction
L’auteure nous explique qu’elle s’est intéressée aux paresseux et plus précisément à leur mode de vie, ce qui est le fil conducteur de ce livre. Au fil des pages, le principe consiste ainsi à s’inspirer de leur style de vie, leurs habitudes et leurs attitudes.
Be still, be sloth
L’auteure commence par un premier parallèle entre notre mode de vie d’être humain et le mode de vie du paresseux. Le paresseux a compris que toute chose prend du temps et que chaque expérience doit être savourée. Pourquoi gaspiller de l’énergie inutilement ? En fait cette philosophie du “laisser faire” du paresseux a une raison physiologique : il a besoin de repos pour digérer.
Activer le rythme du paresseux
Quand nous sommes pressés que notre rythme cardiaque augmente, que nous sommes comme en apnée, il est bon de calmer le jeu et de privilégier l’approche du paresseux pour prendre soin de soi. Pour activer le tempo du paresseux, un exercice : au réveil, ancrer ses pieds dans le sol, puis commencer par de petites tâches que l’on essaie de faire avec le sourire tout en savourant le moment présent.
Digérer calmement
Prendre le temps de manger, de bien mâcher, d’apprécier le goût et la texture de chaque aliment. Cela apporte plus de plaisir, ancre dans l’instant, améliore la digestion et permet de noter sa satiété.
Ne pas se presser
Ne pas réagir mais agir, en résistant à l’urgence, en prenant du recul. Prendre une grande respiration et se laisser le temps de digérer une situation. On ne peut pas presser un paresseux…
Pratiquer l’art de la patience
Offrir son temps aux autres, en racontant une histoire drôle, en aidant quelqu’un, en l’écoutant à propos d’un problème particulier.
Se connecter à la nature
Passer du temps en campagne ou dans un parc en ville et s’asseoir près d’un arbre. L’observer attentivement et si quelque chose nous tracasse en parler en silence ou à voix haute avec lui. Puis prendre juste plaisir à être en compagnie de la nature. Ne pas se presser pour trouver la solution à un problème, apprécier le moment et laisser passer ses pensées.
Respirer par le ventre
S’exercer à respirer par le ventre est énergisant. Alison Davies nous invite à poser ses mains sous son nombril et à se concentrer sur sa respiration, à noter ses inspirations puis ses expirations et à sentir une douce chaleur se diffuser dans son corps.
Slow living
Les conseils de l’auteure pour une vie plus lente :
– Connaître ses priorités.
– Moins de TV, plus de lecture.
– Moins enfermé, plus d’espace.
– Se déconnecter.
– Plus dans le présent.
– Une tâche à la fois.
– Se limiter, ne pas trop en faire.
Turn things upside down
Alison Davies nous propose d’adopter l’angle de vue du paresseux. Elle précise que la clé pour une vie slow réside dans la capacité à voir les choses avec un regard neuf.
Adopter le point de vue du paresseux
Une façon de voir les options et opportunités qui s’offrent à nous. L’auteure nous présente l’exercice suivant pour s’y aider : réaliser un storyboard à propos d’un problème rencontré en dessinant une série d’images avec pour chacune d’elles une phrase descriptive. Puis quand tout va bien revenir à son histoire dessinée et s’interroger : quelle pourrait-être la fin de cette histoire ? Que se passerait-il après avoir résolu le problème ? Et continuer à dessiner ce scénario en imaginant différents dénouements possibles. Une fois terminée, constater la variété d’issues possibles… L’occasion d’être plus créatif et d’envisager différentes perspectives.
Lister ses talents de super-héros
L’auteure pointe du doigt le fait que nous avons tous des forces et des talents mais que nous ne les valorisons pas. Elle propose un exercice en ce sens : faire une liste de ses meilleurs atouts et qualités. Penser aux choses pour lesquelles on est naturellement doué comme bien cuisinier ou être une oreille attentive. Demander autour de soi pour compléter sa liste puis la lire une fois par semaine pour se rappeler ses qualités de super-héros.
Faire du plafond le sol
En vue de renforcer son ouverture d’esprit, Alison Davies nous invite à visualiser une pièce sous un nouvel angle en imaginant que le sol est en définitive le plafond. Une piste pour dessiner des perspectives flexibles et pour développer son imagination. Face à un problème, on sera alors plus à même de le “retourner”, de le voir sous un autre angle et de le gérer autrement.
Regarder une image sous un angle différent
L’auteure nous propose de trouver une photo et de la regarder sous différents angles. Qu’apporte ce nouvel angle ? De nouveaux souvenirs peut-être… Au quotidien, une façon d’enrichir sa vie.
Libérer sa nervosité
Quand on se sent en colère ou frustré, passer ses nerfs en faisant une activité physique, à l’image des paresseux qui grimpent aux arbres, et ne pas avoir peur de se défouler.
Prendre soin de son estomac
L’estomac a tendance à absorber l’énergie négative et le stress. Pour atténuer cela, frotter les paumes de ses mains l’une contre l’autre pendant un minute puis les placer au niveau de son estomac et laisser cette douce chaleur relaxer cette zone.
Nouvelles habitudes
Alison Davies nous invite à :
– Ignorer l’absurdité (le non-sens).
– Parler moins, écouter plus.
– Apprendre un nouveau savoir.
– Aider les plus démunis.
– Rire beaucoup.
– Se lever tôt.
– Laisser l’ego de côté.
Hang in there
Le paresseux vit en hauteur (il passe la majeure partie de son temps dans les arbres). Il a du recul sur la vie et la capacité à surmonter les obstacles sereinement. Le paresseux s’adapte au présent, quoiqu’il arrive, avec une facilité déconcertante. Nul désordre, ni agitation, juste une attitude calme, équilibrée et tenace.
Se familiariser avec la constance
L’auteure met en lumière la patience et la ténacité et explique un exercice en ce sens. Debout, il s’agit de rebondir sur place en sentant son poids dans ses cuisses et en remarquant à quel point nos jambes nous portent et nous équilibrent. Puis se redresser sur ses jambes et étirer sa colonne vertébrale en s’imaginant se suspendre à la branche d’un arbre. Morale de l’histoire : quand on se donne les moyens de faire les chose, on les fait. Puis remettre les bras le long du corps et se motiver à haute voix en se disant “Je suis une force dynamique. Je m’adapte facilement à la vie et j’atteins toujours la bonne direction.”
Aller plus haut
Alison Davies nous invite à sélectionner un de nos objectifs et à se le représenter à la cime d’un arbre. S’imaginer, grimper à l’arbre pour aller chercher son but. En vue de la réalisation concrète d’un objectif, dessiner cet arbre avec son but et le regarder chaque jour pour se rappeler de grimper là-haut !
Pratiquer la ténacité
Se répéter régulièrement qu’un esprit tenace garde les poings serrés et l’esprit clair.
Savourer ses avancées
Savourer les moindres petites victoires quotidiennes et prendre conscience de ce que l’on a déjà réalisé, de ses succès, de ses accomplissements.
Prendre de la hauteur
Se retrouver au sommet d’une montagne ou au dernier étage d’un immeuble par exemple, respirer profondément et contempler la vue. Laisser la sensation d’espace apaiser son corps, son esprit et son âme.
Transformer ses faiblesses en forces
Tracer deux colonnes sur une feuille de papier. Dans la première, noter ses faiblesses comme par exemple “ne pas être bon en orthographe ou en sport” et indiquer en face de chacune d’elles (dans la seconde colonne) une voie positive (comment s’en servir ? comment la mettre à profit ?). Comme par exemple “plutôt que de courir, je prends mon temps et j’apprécie le paysage”.
Être bienveillant envers soi-même
Voici les pistes suggérées par l’auteure en ce sens :
– Les erreurs sont formatrices.
– Accepter ses faiblesses.
– Il n’y a pas de bonne façon de faire.
– Se bouger pour ce à quoi l’on croit.
– Ne pas se comparer aux autres.
– S’entourer de personnes positives.
– Ne pas sous-estimer ses talents.
Be kind to yourself and others
Le paresseux sait que chacun a quelque chose à offrir. Il sait le pouvoir de la diversité. La gentillesse et la collaboration sont essentielles, et pas seulement en mode survie. C’est grâce à son environnement, à un tout, que le paresseux peut vivre et prospérer.
Ouvrir son cœur
C’est plus facile de prendre soin de ses proches, des personnes avec lesquelles on est sur la même longueur d’onde, mais il est important de s’ouvrir aussi à ceux qu’on ne connaît pas et qui pensent différemment de soi.
Donner de soi
Faire chaque jour quelque chose pour quelqu’un, c’est ce à quoi nous invite l’auteure. Offrir de son temps, un mot gentil, un encouragement… Au plus de gentillesse l’on offre, au plus de gentillesse on reçoit. Il s’agit de faire sa part.
Apprendre de la différence
Alison Davie nous conseille d’apprécier les différences des uns et des autres ou en tous cas à apprendre d’elles.
Prêter attention aux autres
Notamment en écoutant attentivement autrui, en s’intéressant à lui en lui posant des questions. Être attentif aux autres est le meilleur moyen d’entretenir une bonne communication et de bonnes relations.
S’offrir un câlin
L’auteure invite à s’étreindre soi-même comme si on était un ami et se féliciter “je me débrouille bien” ou encore à s’imaginer se faire enlacer par un paresseux. “How nice is that ?”
Porter un quartz rose
Alison Davies nous parle du quartz rose et de son lien à l’énergie de l’amour. Elle nous invite à en porter un en collier pour faire rayonner l’amour autour de soi.
10 pas vers le succès
De façon amusante, l’auteure nous présente cela ainsi :
– Essaye.
– Essaye encore.
– Essaye encore une fois.
– Essaye un peu différemment.
– Essaye encore demain.
– Essaye et demande de l’aide.
– Essaye et trouve quelqu’un qui l’a fait.
– Essaye et vois ce qui ne fonctionne pas.
– Essaye et vois ce qui fonctionne.
– Continue d’essayer.
Unleash your talent
Toujours en utilisant la métaphore du paresseux, l’auteur précise que contrairement aux humains qui ont tendance à se scléroser sur leurs faiblesses, les paresseux préfèrent se concentrer sur ce qui fonctionne, sur les domaines dans lesquels ils sont bon et surtout sur ce qu’ils aiment.
Découvrir sa force
Certains savent très vite ce qu’ils aiment, pour d’autres le processus prend plus de temps. Il est alors nécessaire d’aller puiser en soi, et d’emprunter le chemin de la découverte de soi. L’auteure propose un exercice pour s’apaiser en vue de cette démarche : imaginer que chaque inspiration dessine force et énergie et que chaque expiration rejette les tensions que l’on peut ressentir.
Faire ce qui nous plaît
Être plus positif et faire ce qui nous plaît, c’est ce que suggère l’auteure. Lister toutes les choses que l’on aime faire (même si on n’est pas un expert en la matière) et faire au moins une de ces choses par semaine.
Laver ses doutes
Sous la douche, imaginer cette eau qui ruisselle comme une cascade qui nous nettoie du négatif pour laisser émerger un sentiment neuf et revigorant qui stimule notre capacité à laisser émerger nos talents cachés.
Ne pas se fixer sur le négatif
Au lieu de se concentrer sur ce qu’on ne peut faire, porter son attention tout comme le paresseux sur les choses qui nous sont plus naturelles. En fin de journée, noter sur un carnet tout ce que l’on a fait de bien. A la fin de la semaine, la liste s’est bien allongée… L’occasion de découvrir à la relecture où se cachent nos compétences et talents.
Accepter les compliments
Les talents sont là pour être reconnus. Apprécier un compliment que l’on nous fait par un grand sourire et accepter que les autres nous aiment !
Booster sa confiance en soi
Se souvenir d’un moment de confiance en soi vécu plus ou moins récemment et laisser émerger les émotions positives vécues alors tout en pressant l’un contre l’autre le pouce et l’index de sa main droite. Lorsqu’on aura besoin d’un boost de confiance à l’avenir, on fera ce geste pour déclencher ces émotions joyeuses. “Let your smile change the world but don’t let the world change your smile.”
Considérer les autres
Pour cela, Alison Davies nous conseille de :
– Se mettre à la place des autres.
– Ouvrir la porte aux autres.
– Offrir à quelqu’un un cadeau inattendu sans raison.
– Ne pas interrompre, ni parler plus fort que les autres.
– S’excuser quand on se trompe.
– Être patient.
– Rendre service sans rien attendre en retour.
– Dézoomer.
– Faire un petit geste de gentillesse.
– Si une personne est triste, essayer de lui remonter le moral.
– Garder le positif.
– Sourire plus.
Smile and find peace
L’auteur nous invite à prendre du temps pour nous au milieu de toutes les choses à faire. S’accorder des moments de silence durant lesquels juste être là présent à soi.
Sourire comme le paresseux
Être souriant amène naturellement du positif et de la joie. L’auteure propose une relaxation du sourire. En résumé : au fil de sa respiration laisser son sourire s’élargir, devenir plus lumineux.
Faire de la place
Désencombrer sa vie et se dégager de l’espace. Dans sa maison en faisant du tri. Mais aussi dans son travail ou encore au niveau relationnel en observant ce qui nous enrichit, nous apporte du bonheur et puis le reste.
Sourire, souvent
Sourire souvent quitte à forcer un peu son expression permet d’activer des zones du cerveau qui dopent notre bonheur. Et le sourire a l’avantage d’être contagieux. Pour doper son inspiration, regarder des photos de paresseux, qui naturellement invitent le sourire (un sourire est littéralement dessiné sur leur tête !).
Se reposer quand on en ressent le besoin
Chaque action est mangeuse d’énergie. Il est important de récupérer cette énergie régulièrement en faisant des pauses et de s’offrir ainsi une routine de moments off.
Suivre la tendance intérieure
Un exercice qui prend 5 minutes dans la journée : se demander “qu’est-ce que je ressens à cet instant précis ?” Se relier juste à ce que l’on voit, à ce que l’on sent… à ces sens. Une façon de faire face au stress, de se détacher d’une situation pour avoir une vue plus objective.
Se câliner
Les paresseux adorent s’enlacer et se câliner. Faire au moins un câlin par jour (sans limite) est un joli moyen de cultiver le bien-être. Cela booste les hormones du bonheur et c’est forcément partagé.
Faire preuve de créativité
Pour cela, Alison Davies nous invite à :
– Cesser de forcer les choses, faire une pause et entreprendre quelque chose d’autre.
– Se détendre en créant quelque chose de simple.
– Créer ce qu’on veut créer et pas ce qu’on devrait créer.
– Aller marcher pour s’aérer l’esprit.
– Faire un peu d’exercice.
– S’inspirer du travail d’autres créatifs.
– Respecter ses heures de sommeil.
– Essayer une nouvelle technique créative.
– Se lancer un défi contre la montre.
– Reconnaître que l’on n’est pas parfait mais être créatif quand même !
Release the sloth
Être soi-même, tout comme le paresseux. Reconnaissant à chaque respiration, et être capable de se faire entendre avec confiance, clarté. Au lieu de se camoufler, être audacieux et fier de qui l’on est et de ce que l’on a à dire. Laisser s’exprimer son véritable soi.
Libérer le paresseux qui est en soi
Effectuer une série d’étirements et imiter le paresseux pour booster sa confiance en soi. Un nouvel exercice : se poser dans un endroit calme, debout les pieds écartés de la largeur du bassin, fermer les yeux (si on n’est pas sujet aux vertiges) et se concentrer sur sa respiration en portant son attention sur son rythme et le ralentir. Enrouler le buste en avant jusqu’à voir ses genoux (tête en bas), laisser les bras pendants et respirer profondément. S’imaginer comme un paresseux, suspendu ainsi dans un arbre de la forêt tropicale. Comment se sent-on ? Porter son attention sur chaque muscle et sur ses sensations tout en continuant de respirer calmement. Si possible, attacher ses bras derrière ses mollets et approcher sa tête des genoux. Puis revenir à la posture initiale en déroulant lentement son dos. Prendre une grande respiration et noter le premier mot qui vous vient à l’esprit peu importe ce que c’est. Le fait que l’on exprime ce que l’on ressent à cet instant précis. Pratiquer régulièrement cet exercice.
Favoriser l’expression de soi et la créativité
L’auteure nous informe que la couleur turquoise stimule la bonne circulation de l’énergie surtout lorsqu’elle est portée près du cou. Utiliser cela notamment en portant une écharpe ou un collier turquoise.
Partager et écouter
Partager et écouter des histoires pour booster sa créativité en devenant riche d’idées, de pensées et d’opinions.
Echanger
Prendre l’habitude de se confier à une personne chaque semaine. Partager ses joies, ses défis, son opinion sur tel sujet, un souvenir. Vous constaterez que les autres se confieront également à vous et cela renforcera les liens qui vous unissent.
Sur le devant de la scène
Mettre sa musique préférée, un son entraînant, et s’imaginer sous les projecteurs face à un public admiratif qui applaudit massivement à la fin de la représentation. Dans des moments où l’on est nerveux, où l’on a peur de s’exprimer, revivre cette scène et laisser s’éveiller à nouveau ce sentiment de confiance.
Ecrire
Quand quelque chose nous chagrine, ce n’est pas toujours évident de l’exprimer. Peut-être parce que le moment est passé ou autre. L’auteure nous conseille d’écrire ce sentiment dans une lettre. Une lettre qui vient du cœur et qui permet de déverser ses émotions dans chaque mot. Quand on a terminé, brûler cette lettre comme pour se libérer de ces pensées.
Trouver sa passion
Alison Davies nous propose en ce sens de :
– Prêter attention à chaque moment de vie et pratiquer la pleine conscience.
– Prêter attention à son état intérieur (comment se sent-on ?) pour découvrir ce qui nous passionne.
– Se valoriser et donner la primeur à ce que l’on aime et à ce que l’on veut faire.
– Être fier de ses talents et accomplissements et prendre du temps pour cela. Apprendre à se connaître et écouter son cœur.
– Noter ses expériences préférées et ses leçons de vie, et se rappeler ainsi des moments les plus importants de sa vie.
Le livre se termine sur une comptine sur le paresseux avec pour derniers mots “A simple sloth I like to be…”.
Critique du livre “Be more sloth”
Un joli livre merveilleusement bien illustré, plein de fraîcheur et de bon sens. A la fois ludique et pratique, l’approche parallèle avec le paresseux accompagne gaiement le lecteur vers de nouvelles habitudes slow. Un ouvrage pétillant qui mêlent récit, conseils et exercices pratiques avec pour fil conducteur l’invitation à vivre intensément le moment présent.
Je vous invite à découvrir le livre “Be more Sloth” d’Alison Davies.
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